Le chant du poète
Je me laisse aller au son aigu d’une flûte
Et le chant du poète soufi emplit mon âme.
Dans le vieux ksar les feux ne font plus de volutes
Et la nuit ne rougeoiera plus d’aucune flamme.
Et le chant du poète soufi emplit mon âme
Ses rimes me transportent jusqu’au firmament.
Et la nuit ne rougeoiera plus aucune flamme,
Seul le souffle du vent s’y entend bruyamment.
Ses rimes me transportent jusqu’au firmament,
Libre, mon corps tourbillonne sous les étoiles.
Seul le souffle du vent s’y entend bruyamment
Avec montagne et oasis en fond de toile.
Libre, mon corps tourbillonne sous les étoiles
L’esprit et le cœur riant de sérénité.
Avec montagne et oasis en fond de toile,
Dans le village, herbes folles en liberté.
L’esprit et le cœur riant de sérénité
Commence un long voyage vers l’Éternel.
Dans le village, herbes folles en liberté,
Des hirondelles volent gaiment pêle-mêle.
Commence un long voyage vers l’Éternel.
Accompagnées par les douces notes d’un luth,
Des hirondelles volent gaiement pêle-mêle,
Je me laisse aller au son aigu d’une flûte.
27 mai 2018.
Date de dernière mise à jour : 21/10/2021
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